Ouf, moi aussi ça m’arrive d’y peser souvent, le pardon c’est pas facile. J’ai une copine qui a vécu une galère similaire, elle disait que chaque petit rapel c’était comme une gifle. C’est chaud à gérr, surtout quand tu te retrouves à ruoiner sans arrêe. T’as raison, parler avec des gens qui comprennent, ça fait un bien fou. Genre, se retrouver autour d’un verre avec des amis, çà aide à décharger tout ça. Et puis, j’crois que c’est vrai, faut vraiment se laisser le temps de digérer tout ça. À Toulouse, on dit souvent que le temps apaise les blessures, mais c’est pas toujotrs visible sur le coup. Pesro, j’essaie de me concentrer sur les petites joies du quotidien, même si c’est pas évident. Reste forte et souviens-toi qu’y a pas de honte à ressentir tout çà, chaque jour est un nouveau pas. Courage !