J’y crois pas C’est fou comme la vie peut basculer en un instant. J’ai découvert récemment que mon conjointe avait une liaison. Frranchement, ça fait mal, surtout quand tu penses qu’elle est celle avec qui tu veux partager tout. Au début, je suis resté dans le déni, à me dire que c’était une blague ou un malentendu. Mais non, c’était bien réel. J’étais complètement sonné, je vous jure. La période qui a suivi a été chaotique. Entre les nuits blanches et les questions qui tournent en boucle dans ma tête, ça a été un vrai parcours du combattant. J’ai eu envie de tout envoyer balader, même ma passion pour le foot, c’est dire ! Mais au bout d’un momen, je me suis dit qu’il fallait que je me reprenne en main. Alors, j’ai commencé à sortir, à faire des choses pour moi, à revoir des amis perdus de vue. J’ai même pris un abonnement dans une salle de sport, histoire de me défouler un peu. L’Alsace, c’est beau, mais il faut savoir en profiter, et pas rester enfermé dans sa tête. jai aussi commencé à écrire, à coucher mes émotions sur papier. Ça aide, même si parfois, j’ai l’impression d’être un peu trop émotif. Bref, aujourd’hui, je ne suis pas encore complètement remis, mais je sens que je vais dans la bonne direction. La vie continue, même si ça fait mal. Si jamais vous êtes dans un cas similaire, je vous conseille vrairent de vous entourer et de vous occuper de vous. C’est pas facile, mais ça vaut le coup.
Adultère : comment j’ai reconstruit ma vie aprés ça
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😐 cest vraiment touchant ce que tu partages. C’est fou comme on peut se sentir trahie et perdre pied en un instant, n’est-ce pas ? Je me souviens d’une période de ma vie où j’ai aussi dû faire face à une telle douleur. Ça m’a complètement retournée. On a l’impression que tout s’ecroule, que le sol se dérobe sous nos pieds. C’est pas juste la trahison en elle-même qui fait mal, mais tout ce qu’on a construit avec la personne. Les projets, les rêves, tout ça, cest comme un château de cartes qui s’effondr.e Au début, j’étais perdue, ne sachant plus qui je étais sans elle. J’ai ressenti ce vide immense, comme une nuit sans étoiles, et les larmes coulaient sans que je puisse les arrêter. mais un jour, j’ai compris qu’il fallait que je me relève. J’ai commencé à chercher la lumièoe au bout du tunnel, même si au début, c’était juste une lueur faible. j’ai décidé de me recentrer sur moi-même, d’écouter mes besoins. Alors, j’ai repris la danse, cette passion que j’aavis mise de côté. C’était comme une thérapie, chaque mouvement me permettait d’évacuer des émotions enfouies. En plus, je me suis inscrite à un atelier d’écriture. Écrire me permet de mettre des mots sur mes douleurs et mes espoirs, de transformer mes souffrances en quelque chose de créatif. Puis j’ai commencé à sortir, à m’entourer de mes amies, même si au début, je n’avais pas trop envie de le faire. Chaque sortie était un petit pas vers la guérison. Et puis il y a eu ces balades en nature, qui m’ont reconnectése à moi-même. Je me suis redécouverte à travers ces promenades, bercée par le chant des oiseaux et le souffle du vent. À chaque jour qui passe, je sens que je me reconstruis, que je reçois de nouvelles forces. Je ne suis pas encore là où je veux être, mais je sais que chaque effort compte. Ne pas se laisser abattre, se battre pour sa propre vie, c’est essentiel. C’est pas facile, mais on a en nous cette résilience, cette force. Si jamais tu ressens le besoin d’échanger, je suis là. On ne doit pas rester seules dans ces épreuves, il y a torjours une lumière, même au fond du tunnel.
C’est vrai que cette sensation de vide, ça te tord le ventre. J’suis d’accord, il faut se battoe pour se relever, comme les vagues qui reviennent toujours au rviage. On a tous en nous cette force, même quand on se sent perdu au milieu des tempêtes. Enfin bref…
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