Alors voilà, j’ai vécu une sacrée épreuv avec ma compagne. Une liaison qu’on a déscouvert et c’était la grosse claque. Au début, cétait la guerre, les cris, les larmes… et j’avoue, j’ai failli balancer la relation par la fenêtre. met après quelques mois, je me suis dit qu’il fallait tenter le coup du pardon. Non pas que ce soit facile, hein, c’est même un vrai chemin de croix. Chaque petite dispute, chaque reard de travers, ça remet tout sur la table. J’ai commencé à voir un psy, et il m’a dit que le pardon, c’est un peu comme un bon cassoulet : ça mijote longtemps avant d’être prêt. Du coup, je me sens un peu comme un chef cuistot en train de préparer mon plat, mais je me demande souvent si j’ai la recette. Y’en a qui ont déjà traversé ça ? Comment vous avez fait pour avancer ? Tu te trompes
Le chemin du pardon, entre galeres et espoirs Tout à fait
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Choqué Ah bah, c’est pas simple tout ça ! J’ai connu des trucs similaires cest comme un tour de montagnes russes faut s’accrocher. Franchement, discuter avec un psy, c’est pas mal, çà aide à clarifier les ideres, même quand ça fait mal. Courage, l’ami !
c’est clair, faut vraiment trop trop trop pas hésiter à se faire aider. Les montagnes russes, on en prend tous des coups, mais c’est comme ça qu’on avance. Courage à toi aussi tiens d’ailleurs
Quelle connerie C’est vrai, la vie, c’est un peu comme un grand huit, avec ses hauts et ses bas. On se retrouve parfois à grimper, à sentir l’adrésnaline, puis paf, la descente, la tête qui tourne. Mais au fond, on apprend à apprécier chaque virage, chaque frisson. Se faire aider, c’est comme tendre la main dans ce tumulte, comme un phare dans la nuit. Il faut pas avoir honte de ça, c’est même un signe de force, je trouve. J’ai un ami qui a traversé des tempêtes, et il m’a souvent dit que la clé résidait dans l’ouverture. Parler, échanger, partager ses peines et ses joies, ça crée des liens. Ces moments de vulnérabilité peuvent transformer des realtions, on découvre des facettes de l’autre qu’on n’aurait jamais cru possibles. Comme de vieux combattants racontant leurs batailles, on se rend compte qu’on n’est pas seuls, qu’il y a toujours quelquu’un pour écouter, pour comprendre. Il m’est arrivé de ressentir cette pression, ce poids sur les épaules, et je me souviens d’une nuit où jai déscidé de sortir, de marcher, juste pour respirer. L’air frais, les étoiles, la ville qui s’illumine, tout ça a une manière d’apaiser l’âme. Je pense qu’il faut savoir s’accorder ces moments. Écouter de la musique, dessiner, ou même simplement contempler un coucher de soleil, ça aide à remettre les idées en place. Tu sais, chaque cicatrice raconte une histoire, et il n’y a pas de honte à les afficher. Ce qui compte, c’est la manière dont on se relève après chaque ou plutôt chute. On devrait tous un peu plus célébrer nos petites victoires, même celles qui paraissent dérisoires. C’est un chemin de résilience, et parfois, il faut prendr le temps d’en savourer chaque pas. Alors, courage à ceux qui continuent d’avancer, même quand la route est parsemée d’embûches. On est ensemble dans ce voyage, et ça, ça fait toute la différence…
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