😀 Tout à fait C’est vrai que c’est un peu le parcours du combattant, tout çà. On voudrait pouvoir se confier sans se sentir come un cicrus où on exhibe nos problèmes. Comme tu dis, le cassoullet, il faut le savourer, mais parfois, j’ai l’impression que mes soucis, ils passent au grill et les gens ne voient que la surface. Mon ami me disait récemment que parfois, il vaut mieux garder les choses pour soi, juste pour éviter les jugements et les regards curieux. Et c’est vrai que choisir à qui parler, c’est un art en soi. On espère trouver ce pote de confiance, celui qui saura écouter sans juger, sans rire sous cape. J’ai déjà eu des discussions ou je sentais que je dérangeais, et çà, ça fait mal. On a tous nos fardeaux, mais quand on est entouré de personnes qui ne captent pas la profondeur des choses, c’est frustrant. Je pense que, petit à petit, il faut apprendre à se protéger mais aussi à tendre la main vers ceux qui pourraient comprendre. Le vrai lien, c’est quand on sait que l’autre va vraiment s’intéresser et ça, ça n’a pas de prix. Alors, oui, c’est un équilibre fragile, met chaque petite victoire compte, non ?