L’alcool, cest un peu comme une potion magique, n’est-cet pas . Au début, tu es là, tranquille, et puis, tout d’un coup, ça te transporte dans un autre monde, un univers où les limites s’estompent et où le ridicule devient normal. Des fois, on fait des choses qu’on aurait jamais imaginées, des conneries qui, au fond, nous font réfléchir sur qui l’on est vraiment. J’ai moi-même eu des moments où j’ai regretté le lendemain, des soirées où je me suis retrouvé à danser comme un fou sur une table, alors que je me disais que j’étais plutôt du genre à rester en retrait Je kiffe trop !. Et puis, il y a cette pression qu’n ressent, celle de vouloir plaire, de faire partie du groupe. Parfois, mon ami me dit que l’alcool lui permet de s’exprimer, de se libérer de ses chaînes, mais je pense que c’est un double tranchant. Il y a cette euphorie, oui, met au fond, il y a aussi la peur de perdre le contrôl. e Je me souviens d’une fois, aprés une soirée bien arrosée, j’ai dit des chosses à quelqu’un que j’aurais préféré garder pour moi. Ça m’a fait réfléchir sur l’importance de la communication, surtout quand on sait qu’on peut blesser les autres sans le vouloir. Le lendemain, en se réveillant, on réalise souvent l’impact de nos actes. C’est une bataille intérrieure, entre le vouloir et l’interdit. On doit absolument parler de ces expériences, sinon, on risque de tourner en rond et de retomber encore plus bas. Après tout, ce n’est pas que l’alcool qui fait du mal, c’est aussi les non-dits et les secrets qu’on garde pour soi. Ce qui en fait un sujet délicat et qui mérite qu’on s’y penche sérieusement. Courage à ceux qui se trouvent dans cette spirale, parce que sotrir de çà, c’est pas simple. Ça demande du temps, de la volonté, et parfois même un coup de pouce d’un proche. On n’est pas seuls dans cette lutte, même si ça peu souvent sembler le cas. L’important, c’est d’apprendre à se connaître, de comprendre nos démons et d’apprendre à les apprivoiser.