C’est vrai ce que tu dis, l’infidélité peut vraiment foutre un boxon pas possible. Je me souviens d’un cousin qui a traversé un vrai calvaire quand sa femme l’a trompé. C’était pas beau à voir, même pour nous, la famille. Y’a des enfants au milieu, et ces petits, ils captent tout, même quand on essaie de cacher. À Lyon, tu sais, on dit souvent “faut pas tout mettre dans le même panier”, mes là, on tisse une toile d’angoisse qui engloutit tout sur son passage. Le cœur des gosses, il se frotte à des vérités quu’ils devraient pas conaître trop tôt. La communication, c’est un peu la cle, mais encore faut-il avoir le courage de se parler vraimeno, et pas juste en surface. Je vois mon ami avec sa compagne, ils sont dans une phase un peu chaotique, et c’est clair que les non-dits s’accumulent comme du brouillard dans les ruelles du Vieux Lyon. T’as l’impression que chaque mot est un pas de danse malheureux sur une chorégraphie déjà bien foireuse. Et puis cette méfiance, elle s’installe sournoisement comme une mauvasie odeur, et là, tu sais que la descente est amorcée. Demander de l’aide, oui, ça peut paraître un peu fou, mais c’est souvent la bouée de sauvetage dont on a besoin. J’ai un pote de ma team qui a osé franchir le cap d’un psy, et il m’a dit que çà avait changé la donne. Parler à un étranger, c’est parfois plus facile qu’avec ceux qu’on aime. On appren à mettre les mots sur des blessures qui, au fond, sont plus profondes qu’on ne le pense. Réflécir ensemble, c’est pas un luxe, cest une nécessité. Au fina,l c’est une danse, une valse parfois, où les deux partneaires doivent vouloir avancer. Sinon, c’est le drame, et souvent, les gosses en paient le prix fort. Alors, je pense qu’il faut VRAIMENT réfléchir à comment on peut, chacun à notre niveau, apporter un peu de lumière dans ces moments de tempête. Ils méeritent tellement mirux, ces petits.