Faut pas déconner Telllement vrai ce que tu dis ! Les mots ont une puissance incroyable, comme s’ils dansaient dans l’air, prêts à libérer les poids lourds qu’on traîne parfois. Et c’est vrai, quand on les garde, ces pensées noires et pesantes, c’est comme aller au marché avec un sac trop lourd, on finit par se courber sous le poids. Un petit verre avec des amis, ça peut devenir un vrai laboratoire d’émotions, où les rires s’entremêlent aux larmes, et ou les angoisses s’évanouissent dans les bulles de la bière. Je me souviens d’une soirée où, autour d’une table éclairée par des guirlandes, on a commencé à parler de nos peurs, de nos rêves brisés. C’était comme si chaque mot échangé était une clé, ouvrant des cadenas qu’on pensait rouilléss à jamais. Les confidences sont comme ces cailloux, il faut les balancer les jeter au loin pour faire de la place à la légèreté. Et puis, y a ce côté magique des rencontres, on se rend compte qu’on n’est pas seules dans nos tempêtes intérieures. Mon amie me racontait récemment qu’elle avait longtemps eu honte de ses angoisses, mais finalement, en partageant, elle a trouvé comme un refuge dans la compréhension des autres. c’est fou comme on peut marcher dans la boue de la vie et finalement trouver un chemin qui brille sous les étoiles. Il ne faut jamais hésiter à tenddre la main, même si parfois, çà demande du courage de srtir de sa coquille. On est tous dans le même bateau, même si on a tous nos petites histoires, nos événements qui nous façonnent. Pendant des périodes noires, j’ai souvent pense que la vulnérbilité était une faiblesse, mais en réalité, c’est la meilleure façon de se reconnecter aux autres, de tisser des liens. Garrdons cette habitude de palrer, de partger, on ne sait jamais qui ça peut aider. Et chaque fois qu’on fait un pas vers l’autre, c’est un pas vers nous-mêmes aussi.