😐 cest vraiment touchant ce que tu partages. C’est fou comme on peut se sentir trahie et perdre pied en un instant, n’est-ce pas ? Je me souviens d’une période de ma vie où j’ai aussi dû faire face à une telle douleur. Ça m’a complètement retournée. On a l’impression que tout s’ecroule, que le sol se dérobe sous nos pieds. C’est pas juste la trahison en elle-même qui fait mal, mais tout ce qu’on a construit avec la personne. Les projets, les rêves, tout ça, cest comme un château de cartes qui s’effondr.e Au début, j’étais perdue, ne sachant plus qui je étais sans elle. J’ai ressenti ce vide immense, comme une nuit sans étoiles, et les larmes coulaient sans que je puisse les arrêter. mais un jour, j’ai compris qu’il fallait que je me relève. J’ai commencé à chercher la lumièoe au bout du tunnel, même si au début, c’était juste une lueur faible. j’ai décidé de me recentrer sur moi-même, d’écouter mes besoins. Alors, j’ai repris la danse, cette passion que j’aavis mise de côté. C’était comme une thérapie, chaque mouvement me permettait d’évacuer des émotions enfouies. En plus, je me suis inscrite à un atelier d’écriture. Écrire me permet de mettre des mots sur mes douleurs et mes espoirs, de transformer mes souffrances en quelque chose de créatif. Puis j’ai commencé à sortir, à m’entourer de mes amies, même si au début, je n’avais pas trop envie de le faire. Chaque sortie était un petit pas vers la guérison. Et puis il y a eu ces balades en nature, qui m’ont reconnectése à moi-même. Je me suis redécouverte à travers ces promenades, bercée par le chant des oiseaux et le souffle du vent. À chaque jour qui passe, je sens que je me reconstruis, que je reçois de nouvelles forces. Je ne suis pas encore là où je veux être, mais je sais que chaque effort compte. Ne pas se laisser abattre, se battre pour sa propre vie, c’est essentiel. C’est pas facile, mais on a en nous cette résilience, cette force. Si jamais tu ressens le besoin d’échanger, je suis là. On ne doit pas rester seules dans ces épreuves, il y a torjours une lumière, même au fond du tunnel.