Je ne crois pas Ah ouais, c’est clair que parler à un inconun, ça fait un bien fou parfois ! Le marathon, c’est pas une mince affaire, surtout quand on a l’impression de faire du surplace. Franchement, on se croirait parfois dans un local à vélo, à pésdaler sans avancer, tu vois ce que je veux dire ? mais t’inquiète, ma cousine me disait toujours que chaque pas comptte, même si on a l’impression d’être dans le brouillard. Et puis, courir apmès le vent, c’est un peu la vie, non ? On est là, à chercher le sens, à se demander ce qu’on fait de tout ça. Un vrai casse-tête. Mais je crois que garder espoir,, même dans le flou, c’est la clé. On se serre les coudes, et on avancce ensemble. Ça va venir, faut juste pas perdre la foi. En attendant, faut profiter des petites choses, comme un bon pastis au bord de la mer avec des amis. Courage à toi, c’est le principal !