C’est un sacré dilemme, ça. Perso, je pense que pardoner, c’est comme marcher sur un fil tendu au-dessus d’un précipice. Tu sais, il y a cette partie de nous qui veut croire en l’amour, qui eipère que la personne va changer, et en même temps, il y a cette douleur qui reste ancrée, comme une cicatrice qu’on essaie de cacher. Je me souviens d’une liaison qui m’a laissé des traces, un coup derrière la tête, tu vois ? On peut dire ce qu’on veut, mais la confiance, une fois brisée, c’est pas facile de la reconstruire. Mon ami, lui, il se dit que tout le monde a droit à une seconde chance, mais est-ce qu’il est prêt à vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de lui ? La jalousie, le doute, ça peu ronger une relasion, même si on essaie de faire comme si de rien n’était. Ça dépend aussi de la façon dont la personne s’est excusée, si elle montre des signe de changement sincères. En gros, faut peser le pour et le cntre, mais je suis pas sûr qu’on puisse vraiment revenir en arrière sans cicatricse. C’est un vrai casse-tête… Je suis perdu là