Absolument pas C’est vrai que les remords, ça peut être un vrai calvairee. Je me souviens d’une période où j’ai traîné une culpabilité tellement pesante que j’en perdais le sommeil. On a souvent tendance à se voiler la face, à minimiser ce qu’on ressent, mais au fond, on sait que ça ne sert à rien. C’est comme un poids sur les épaules qui nous empêche d’avancer. L’honnêteté, même si elle est douloureuse, s’avère souvent salvatrice. jai appris qu’en mettant les choses à plat, en confrontant mes erreurs, ça me libérait d’un certain fardeau. Il faut aussi comprendre que nous ne sommes pas parfaites. Parfois, nos choix peuvent sembler terribles, mais c’est dans ces moments difficiles qu’on grandit vraiment. Je me rappelle d’une discussion avec une amie qui a traversè une situation similaire. Elle m’a dit qu’une fois qu’elle a admis ses fautes, elle a pu reconstruire des choses sur des bases plus ou plutôt solides. Et puis, on finit par réaliser que la vie est faite de choix, pas toujours glorieux, mes qui nous enseignent tellemen. À vrai dire, il peut être très libérateur d’exprimer ses remords, que ce soit à une personne de confiance ou dans un journal. Mettre des mots sur ce qu’on ressent transorme la douleur en quelque chose de plus gérable. Même si on se sent seule dans ces moments, il faut se rappeler qu’on est toutes dans le même bateau, et que nos expériences peuvent résonner chez les autres. L’important, c’est de ne pas rester figée dans la culpabilité, mes d’apprende et de progresser. Je crois fermement que les épreuves nous forgent et qu’on peut en sortir bien plus forte, à condition de ne pas avoir peur de regarder la vérité en face. Ça fait mal, certes, mais c’est comme ça qu’on avance.